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SOIRÉE CINÉMA
JOÃO PEDRO RODRIGUES

 

VILLA ARSON

VENDREDI 14 AVRIL

GRAND AMPHI

18h30

Restitution du workshop
mené par JP Rodrigues avec

les étudiants de la Villa Arson

 

20H30

FEU FOLLETde João Pedro Rodrigues

En présence du cinéaste

PROJECTION
Villa Arson
Vendredi 14 avril

FEU FOLLET 
João Pedro Rodrigues I Portugal I 2022 I 1h07

Sur son lit de mort, Alfredo, roi sans couronne, est ramené à de lointains souvenirs de jeunesse et à l'époque où il rêvait de devenir pompier. La rencontre avec l'instructeur Afonso, du corps des pompiers, ouvre un nouveau chapitre dans la vie des deux jeunes hommes plongés dans l'amour et le désir, et à la volonté de changer le statu quo.

À PROPOS
Par Philippe Azoury 
(In les Inrockuptibles I 12 septembre 2022)

"Entre le conte de fées musical, l’érotisme gay et la fable politique, le Portugais a choisi de ne pas choisir, pour notre plus grand bonheur.

Il y a longtemps que la maison Cinéma est en feu, mais étrangement pour cause d’assèchement. La canicule a sévi, les sources de vie se sont taries : panique et ennui devant un septième art qui arrive moins souvent qu’autrefois à s’inventer. Et puis soudain tombe un film, comme tombent les ovnis quand ils sont attirés vers la Terre irrésistiblement, qui ne ressemble à rien de connu, arrive à dire des choses essentielles, vitales, tout cela en commençant par ressembler à du grand cinéma classique d’auteur (on pense à Oliveira, puis à un Pasolini en extase devant un tableau de Mantegna, puis à un clip de Pierre Bachelet (lol) et, surprise, à un porno straubien."

L'ATELIER DE RÉALISATION
Villa Arson
Décembre 2022 I Février, Avril 2023 

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PROPOSITION

« Dans cet atelier de réalisation je propose qu’on se concentre sur la première scène ou premières scènes d’un film. Pour moi, le désir de faire un film se trouve toujours dans ce commencement. Plus ou moins visible, il est le vrai moteur qui projette le récit en avant. Là où le film nous amène peut-être très différent de ce que l’on pouvait croire au début, au moment où on s’assoit dans une salle de cinéma ou quand on regarde un film sur quelque autre sorte d’écran. La décision de continuer à le voir, de rester dans la salle ou partir, d’éteindre ou pas l’écran ou de passer à une autre chose est, pour moi, presque toujours prise pendant / à cause de ce commencement. Je peux paraître radical, mais je pense souvent que c’est à ce moment-là que le jeu se joue. Dans un monde plein d’images, il faut faire un choix : qu’est-ce qu’on veut regarder ? C’est aussi la responsabilité du film d’être fait d’images et de sons qui ne soient pas perdus/es parmi le maelstrom d’images et de sons de ce monde. C’est rare que je ne comprenne pas tout de suite si je vais aimer ou pas un film, juste par son début. Il doit susciter le désir du spectateur/trice, il doit aussi avoir du mystère. Le plus triste encore est quand le film me laisse indifférent. C’est ce que je cherche toujours : ne pas laisser le spectateur/trice indifférent/e. »

Joao Pedro Rodrigues

VOIR

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ÉCOUTER

Entretien réalisé en décembre 2022 lors du passage de João Pedro Rodrigues à la Villa Arson

sur invitation de Kaloust Andalian.

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